Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
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Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
Infaillible, cette méthode ? Enfin quasi.
Seul le Pape, dit-on. Et encore... Quand il envisage de mettre le préservatif à l'Index, je me pose des questions...
Un taux de 80% de réussite, ce n'est déjà pas si mal.
En voici la décomposition, étape par étape, de l'opération complète de bouturage « à l'étouffée » du rosier, mais applicable à la plupart des végétaux ligneux.
Basée sur le principe :
chaleur + lumière + forte hygrométrie >>> forte photosynthèse >>> bonne rhizogenèse.
A signaler que ce qui suit est la démarcation servile de la méthode utilisée par les pros pour le bouturage de masse des vivaces. Seule différence : eux, ils utilisent des moyens et outils sophistiqués et coûteux - tables chauffantes, lumière artificielle, brumisation automatique, température régulée de la serre.
Ici, les moyens sont ardéchois (la ficelle et l'opinel)
A Préparation du substrat et des ustensiles.
A1- Un substrat très pauvre et très drainant:
- 2/3 sable non calcaire (ici, de l'arène de grès)
- 1/3 terreau de bas de gamme.
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Bien mélanger.
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A2- Le contenant : des éléments de récupération:
- sac plastique "à légumes" translucide mais non transparent,
- deux bouts de fil de fer, de 60cm, formés en arceau,
- un conteneur plastique, plus haut que large, bien percé au fond.
Ici, c'est le seul objet acheté, un pot à rosiers de 3 litres (25€ le paquet de 80)
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B- Choix et préparation du matériel végétal.
B1- Rameaux de l'année, défleuris, déjà bien aoûtés (fin juin, dans le nord, ici, c'est mûr)
Ici, un rameau de La France clg, défleuri, dans lequel je dois tirer de quoi faire six boutures...
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B2- à gauche, le tronçon, détaché, débarrassé de ses pédoncules de fleurs, avec la seule feuille supérieure conservée et éventuellement raccourcie, à droite, la bouture prête (talon refendu, aiguillons ôtés, yeux inférieurs éborgnés.
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B4- pour les gros inquiets, qui mettent ceinture ET bretelles, un petit coup d'auxines.
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C- Planter et boucler la serre du pauvre..
C1- Enfoncer les boutures profondément dans le substrat, au plantoir, en tournant les boutures de telle manière que les feuilles laissées ne touchent pas la paroi du sac
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C2- bien arroser, enfiler la capote..
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C3- ligaturer soigneusement pour réaliser l'enceinte "à l’étouffée"
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C4- Placer en plein soleil, sur une pierre accumulant la chaleur. Et c'est parti pour six semaines.
C5- Passer chaque jour pour tapoter la capote et faire tomber la buée sur les parois.
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S'il n'y a plus de buée : ouvrir, arroser copieusement, et bien refermer.
Fin septembre, vous pourrez dépoter et planter en pépinière, voire, directement en place...
Nota bene:
Quand procéder ? dès qu'il fait assez chaud et qu'il existe des rameaux à maturité.
Variante à la "mini-serre" : une bouteille à eau minérale coupée par le milieu, en emboitant les deux parties l'une dans l'autre.
Seul le Pape, dit-on. Et encore... Quand il envisage de mettre le préservatif à l'Index, je me pose des questions...
Un taux de 80% de réussite, ce n'est déjà pas si mal.
En voici la décomposition, étape par étape, de l'opération complète de bouturage « à l'étouffée » du rosier, mais applicable à la plupart des végétaux ligneux.
Basée sur le principe :
chaleur + lumière + forte hygrométrie >>> forte photosynthèse >>> bonne rhizogenèse.
A signaler que ce qui suit est la démarcation servile de la méthode utilisée par les pros pour le bouturage de masse des vivaces. Seule différence : eux, ils utilisent des moyens et outils sophistiqués et coûteux - tables chauffantes, lumière artificielle, brumisation automatique, température régulée de la serre.
Ici, les moyens sont ardéchois (la ficelle et l'opinel)
A Préparation du substrat et des ustensiles.
A1- Un substrat très pauvre et très drainant:
- 2/3 sable non calcaire (ici, de l'arène de grès)
- 1/3 terreau de bas de gamme.
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Bien mélanger.
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A2- Le contenant : des éléments de récupération:
- sac plastique "à légumes" translucide mais non transparent,
- deux bouts de fil de fer, de 60cm, formés en arceau,
- un conteneur plastique, plus haut que large, bien percé au fond.
Ici, c'est le seul objet acheté, un pot à rosiers de 3 litres (25€ le paquet de 80)
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B- Choix et préparation du matériel végétal.
B1- Rameaux de l'année, défleuris, déjà bien aoûtés (fin juin, dans le nord, ici, c'est mûr)
Ici, un rameau de La France clg, défleuri, dans lequel je dois tirer de quoi faire six boutures...
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B2- à gauche, le tronçon, détaché, débarrassé de ses pédoncules de fleurs, avec la seule feuille supérieure conservée et éventuellement raccourcie, à droite, la bouture prête (talon refendu, aiguillons ôtés, yeux inférieurs éborgnés.
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B4- pour les gros inquiets, qui mettent ceinture ET bretelles, un petit coup d'auxines.
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C- Planter et boucler la serre du pauvre..
C1- Enfoncer les boutures profondément dans le substrat, au plantoir, en tournant les boutures de telle manière que les feuilles laissées ne touchent pas la paroi du sac
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C2- bien arroser, enfiler la capote..
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C3- ligaturer soigneusement pour réaliser l'enceinte "à l’étouffée"
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C4- Placer en plein soleil, sur une pierre accumulant la chaleur. Et c'est parti pour six semaines.
C5- Passer chaque jour pour tapoter la capote et faire tomber la buée sur les parois.
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S'il n'y a plus de buée : ouvrir, arroser copieusement, et bien refermer.
Fin septembre, vous pourrez dépoter et planter en pépinière, voire, directement en place...
Nota bene:
Quand procéder ? dès qu'il fait assez chaud et qu'il existe des rameaux à maturité.
Variante à la "mini-serre" : une bouteille à eau minérale coupée par le milieu, en emboitant les deux parties l'une dans l'autre.
Dernière édition par bourru le Jeu 10 Mai 2018 - 8:58, édité 1 fois
Passer pour un idiot, aux yeux d'un imbécile, est un plaisir de fin gourmet...George Courteline.
bourru- corolle frémissante dans le vent
- Messages : 1735
Date d'inscription : 15/04/2017
Age : 85
Localisation : Cévennes
Re: Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
Variante à la "mini-serre" : une bouteille à eau minérale coupée par le milieu, en emboitant les deux parties l'une dans l'autre.
Je ne bois jamais d'eau minérale ,est ce que ça marche avec une bouteille de pétrus vide ?
Je ne bois jamais d'eau minérale ,est ce que ça marche avec une bouteille de pétrus vide ?
Chao- Clochette tintinnabulante
- Messages : 4299
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Age : 28
Localisation : Isère
Re: Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
Hélas non, car c'est très délicat de couper proprement une bouteille en verre...
Mais ne t'inquiète pas, je peux t'aider utilement.
Envoie moi une caisse de Chateau Pétrus pleines...
Je te t'enverrai par retour un container de Volvic, prêtes à l'emploi...
Et mêmes garnies du substrat ad hoc...
Fair deal, isn't it ?
Mais ne t'inquiète pas, je peux t'aider utilement.
Envoie moi une caisse de Chateau Pétrus pleines...
Je te t'enverrai par retour un container de Volvic, prêtes à l'emploi...
Et mêmes garnies du substrat ad hoc...
Fair deal, isn't it ?
Passer pour un idiot, aux yeux d'un imbécile, est un plaisir de fin gourmet...George Courteline.
bourru- corolle frémissante dans le vent
- Messages : 1735
Date d'inscription : 15/04/2017
Age : 85
Localisation : Cévennes
Re: Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
Joli tuto, tout est clair et bien expliqué -
(Avec une préfèrence pour le St Estèphe )
(Avec une préfèrence pour le St Estèphe )
BIBI17- inflorescence scorpioïde
- Messages : 20126
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Localisation : Charente Maritime
Re: Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
oui, très bien expliqué
ça, c'est valable au printemps, en été, (période idéale je trouve pour le bouturage des rosiers) moi, je les place à l'ombrebourru a écrit:
C4- Placer en plein soleil, sur une pierre accumulant la chaleur. Et c'est parti pour six semaines.
lulu33- Bourgeon prometteur
- Messages : 6121
Date d'inscription : 17/10/2015
Age : 47
Localisation : Dordogne
Re: Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
Plein soleil <> à l'ombre ?
Selon mon expérience le plein soleil est bien plus efficace et rapide que l'ombre.
Pour deux raisons :
Mais attention, il faut à tout prix éviter de faire un "four vapeur", qui cuirait les feuilles.
C'est la raison pour laquelle j'utilise des sacs translucides mais pas transparents.
J'aurais du insister et expliciter.
Les sacs bleus (à légumes) réduisent les infra rouges (qui chauffent) et laissent passer, à plein,
les rayons qui activent la photo synthèse.
Un ersatz rustique et bon marché des lampes horticoles...
Mais à l'ombre, ça marche aussi. C'est seulement un peu plus long pour développer un bon chevelu. A la grosse louche : 6 semaines, au soleil et 10 ou 12, à l'ombre...
Selon mon expérience le plein soleil est bien plus efficace et rapide que l'ombre.
Pour deux raisons :
- - la dalle accumule une bonne chaleur qu'elle restitue, même la nuit, au pot (chaleur de fond)
- la photosynthèse joue à plein régime.
Mais attention, il faut à tout prix éviter de faire un "four vapeur", qui cuirait les feuilles.
C'est la raison pour laquelle j'utilise des sacs translucides mais pas transparents.
J'aurais du insister et expliciter.
Les sacs bleus (à légumes) réduisent les infra rouges (qui chauffent) et laissent passer, à plein,
les rayons qui activent la photo synthèse.
Un ersatz rustique et bon marché des lampes horticoles...
Mais à l'ombre, ça marche aussi. C'est seulement un peu plus long pour développer un bon chevelu. A la grosse louche : 6 semaines, au soleil et 10 ou 12, à l'ombre...
Passer pour un idiot, aux yeux d'un imbécile, est un plaisir de fin gourmet...George Courteline.
bourru- corolle frémissante dans le vent
- Messages : 1735
Date d'inscription : 15/04/2017
Age : 85
Localisation : Cévennes
Re: Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
bourru a écrit:
Mais attention, il faut à tout prix éviter de faire un "four vapeur", qui cuirait les feuilles.
C'est la raison pour laquelle j'utilise des sacs translucides mais pas transparents.
J'aurais du insister et expliciter.
Les sacs bleus (à légumes) réduisent les infra rouges (qui chauffent) et laissent passer, à plein,
les rayons qui activent la photo synthèse.
ah d'accord, je ne sais pas si je prendrais le risque...mais si tu dis que ça marche!
merci pour les explications
lulu33- Bourgeon prometteur
- Messages : 6121
Date d'inscription : 17/10/2015
Age : 47
Localisation : Dordogne
Re: Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
merci de toutes ces infos
mais avec les nouveaux sacs plastiques est ce bien aussi
ceux biodégradable car on ne trouve plus d'autres
question a quel moment les boutures de rosiers tellement de contreverse
queqlu'un a t'il déja fait des boutures de sureau blanck beauty pas moyen plusieurs echecs
merciiiii
mais avec les nouveaux sacs plastiques est ce bien aussi
ceux biodégradable car on ne trouve plus d'autres
question a quel moment les boutures de rosiers tellement de contreverse
queqlu'un a t'il déja fait des boutures de sureau blanck beauty pas moyen plusieurs echecs
merciiiii
passion-h.eklablog.com[url=passion-h.eklablog.com]passion-h.eklablog.com[/url]
Re: Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
Merci Bourru, je m'y colle dans un mois!
Mais un souci...j'ai fait de la spéléo dans mes sacs plastiques et...pas de sac bleu.
Certains sont un peu opaques et j'ai aussi quelques nouveaux sacs un peu opaques "biodégradables" (provenant de rayons alimentaires de grandes surfaces)
Ça le fait?
Bon après-midi!
Mais un souci...j'ai fait de la spéléo dans mes sacs plastiques et...pas de sac bleu.
Certains sont un peu opaques et j'ai aussi quelques nouveaux sacs un peu opaques "biodégradables" (provenant de rayons alimentaires de grandes surfaces)
Ça le fait?
Bon après-midi!
Re: Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
Ce sont les bleutés qui laissent passer le mieux les rayons utiles à la photosynthèse
tout en arrêtant les rayons infra rouges,
mais faute de grives....
Ce qu'il faut à tout prix éviter, ce sont les transparents.
Il fabriqueraient un four solaire...
Quant aux difficultés avec Sambucus, c'est peut-être le contact de la moelle avec le substrat
humide qui pose problème.
Essaie que l’extrémité inférieure de la bouture soit juste sur un nœud.
Sans moelle apparente.
tout en arrêtant les rayons infra rouges,
mais faute de grives....
Ce qu'il faut à tout prix éviter, ce sont les transparents.
Il fabriqueraient un four solaire...
Quant aux difficultés avec Sambucus, c'est peut-être le contact de la moelle avec le substrat
humide qui pose problème.
Essaie que l’extrémité inférieure de la bouture soit juste sur un nœud.
Sans moelle apparente.
Dernière édition par bourru le Ven 25 Mai 2018 - 10:26, édité 1 fois
Passer pour un idiot, aux yeux d'un imbécile, est un plaisir de fin gourmet...George Courteline.
bourru- corolle frémissante dans le vent
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Age : 85
Localisation : Cévennes
Re: Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
bourru tu penses que ca va aller ?? j'ai un sumac rouge /viburnum carlesi /clematite /seringat
en tous cas merci pourles explications
en tous cas merci pourles explications
Brigitte 1754- Comtesse du jardin
- Messages : 53179
Date d'inscription : 26/10/2009
Age : 76
Localisation : Meurthe et Moselle
Re: Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
Pour le Séringat, un éclat de motte est encore plus facile (et rapide) que la bouture...
Passer pour un idiot, aux yeux d'un imbécile, est un plaisir de fin gourmet...George Courteline.
bourru- corolle frémissante dans le vent
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Re: Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
bourru a écrit:Plein soleil <> à l'ombre ?
Selon mon expérience le plein soleil est bien plus efficace et rapide que l'ombre.
Pour deux raisons :
- - la dalle accumule une bonne chaleur qu'elle restitue, même la nuit, au pot (chaleur de fond)
- la photosynthèse joue à plein régime.
Mais attention, il faut à tout prix éviter de faire un "four vapeur", qui cuirait les feuilles.
C'est la raison pour laquelle j'utilise des sacs translucides mais pas transparents.
J'aurais du insister et expliciter.
Les sacs bleus (à légumes) réduisent les infra rouges (qui chauffent) et laissent passer, à plein,
les rayons qui activent la photo synthèse.
Un ersatz rustique et bon marché des lampes horticoles... :lolQuand
Mais à l'ombre, ça marche aussi. C'est seulement un peu plus long pour développer un bon chevelu. A la grosse louche : 6 semaines, au soleil et 10 ou 12, à l'ombre...
Bonjour à tous,
Merci bourru pour ce tuto. Mais le seul point où je ne suis pas d'accord, c'est de mettre les boutures au soleil.
Quand on fait des boutures, on ne souhaite qu'une chose, c'est de développer le système racinaire. Donc ce n'est
pas la photosynthèse que l'on vise. D'autre part, l'hygrométrie est bien plus facile à contrôler à l'ombre. Donc moins de risques de pourrissement.
J'ai un abri bois, où j'ai entreposé une table avec un coin à l'ombre et mes boutures marchent bien. (Quand je les surveille aussi ).
Un truc simple pour les sacs plastiques : je récupère les bâtons des géraniums lierre. Je plante 3 batons et un sac de
congélation et zou. Surtout, je ne cherche pas à fermer hermétiquement le sac. (comme ça on peut surveiller l'hygrométrie.)
On est riche que de ses amis, c'est dit, chanson de Calogéro
un petit clic pour voir mes photos Entrez, c'est ici
cricri54- Bourgeon prometteur
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Re: Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
Je ne comprends pas bien ton objection...cricri54 a écrit:
Quand on fait des boutures, on ne souhaite qu'une chose, c'est de développer le système racinaire. Donc ce n'est
pas la photosynthèse que l'on vise.
Photosynthèse et rhizogenèse ne sont pas antinomiques.
Bien au contraire...
Quand la photosynthèse joue à fond, une plus grande quantité de 'sève élaborée' est produite dans le limbe des feuilles, un grande partie redescend, favorisant le développement du chevelu...
Passer pour un idiot, aux yeux d'un imbécile, est un plaisir de fin gourmet...George Courteline.
bourru- corolle frémissante dans le vent
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Age : 85
Localisation : Cévennes
Re: Tutoriel pas à pas du bouturage "à l'étouffée"
Bonjour,
Ce que tu écris là, c'est valable pour une bouture déjà enracinée. Si on conseille d'enlever la plupart des feuilles, c'est bien pour ne pas fatiguer la bouture inutilement.
Et le fait d'eviter le soleil direct est conseillé sur tout les supports.
Ce que tu écris là, c'est valable pour une bouture déjà enracinée. Si on conseille d'enlever la plupart des feuilles, c'est bien pour ne pas fatiguer la bouture inutilement.
Et le fait d'eviter le soleil direct est conseillé sur tout les supports.
On est riche que de ses amis, c'est dit, chanson de Calogéro
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cricri54- Bourgeon prometteur
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