Les jardinautes, au fil des saisons.
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Re: Les jardinautes, au fil des saisons.
Chao Lun 29 Jan 2018 - 18:39
Plus on boit et plus il y a de cigognes 
Chao- Clochette tintinnabulante
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Re: Les jardinautes, au fil des saisons.
BIBI17 Lun 29 Jan 2018 - 23:28
Woui woui,mc, tes cigognes sont trèèèèèès jolies. (jolie photo - au passage).
Tous les matins, elles viennent boire dans le canal du jardin, je n'y fais même plus attention, elles font parties du paysage
C'est vrai, avant elles livraient les bébés, mais maintenant elles font les "pachas" tout l'hiver et s'engraissent, elles ne peuvent même plus assurer les livraisons
Tous les matins, elles viennent boire dans le canal du jardin, je n'y fais même plus attention, elles font parties du paysage
C'est vrai, avant elles livraient les bébés, mais maintenant elles font les "pachas" tout l'hiver et s'engraissent, elles ne peuvent même plus assurer les livraisons
BIBI17- inflorescence scorpioïde
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Re: Les jardinautes, au fil des saisons.
Chao Mar 30 Jan 2018 - 3:29
mc17 a écrit:Non, ce n'est pas une heuchère et je n'ai pas cette variétéBibi du 17 a écrit:ce ne serait pas la Blondie in Lime ?
C'est déjà pas mal avec tes euphorbes ta panachée est presque fleurieLulu du 33 a écrit: il n'y a pas grand chose d'intéressant chez moi en cette saison et ça tombe bien puisque je reste dedans
La characias est vraiment une survivante
**************
En routevers l'île d'Oléron
Les marais bien trempés
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Un couple de cigognes,
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les mimosas sont fleuris, ils hument bons
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et,enfin les bassins de retention d'eau sont pleins après une longue année où tout était à sec!
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Désolée je n'avais pas vu ses photos et à mon avis je n'étais pas la seule on attendais tous les cigognes et les mimosas
bonne journée
Chao- Clochette tintinnabulante
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Les cigognes en Charente Maritime
mc17 Mar 30 Jan 2018 - 6:49
Bonjour
Enfin,
Chao et Lulu ont vu les porteurs de bébés.
Ils sont bien énervés, serait ce dû à la prochaine lune bleue?
En réponse un site très intéressant
La Charente-Maritime, premier nichoir à cigognes
Le migrateur cher à l’Alsace apprécie tout autant le littoral atlantique. Ces jours-ci, la cigogne abonde dans les marais de Brouage et de Rochefort.
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Pour les Anglais, la cigogne est un oiseau volage; être comparé à une stork par un British sous-entend ne pas être un modèle de fidélité conjugale. En Charente-Maritime en tout cas, nul ne se plaint de l’inconstance du grand échassier noir et blanc. Au contraire, les cigognes reviennent nicher chaque année plus nombreuses dans le département côtier. La communauté d’agglomération Rochefort-Océan a d’ailleurs fait de l’oiseau sa mascotte et organise chaque printemps un festival «Cigogne en fête» tournant d’une commune à l’autre.
N’en déplaise aux Alsaciens, c’est bien la Charente-Maritime qui compte désormais le plus de cigognes, d’après les statistiques tenues soigneusement par la Ligue de protection des oiseaux (LPO). «Nous dénombrons actuellement 500 couples, l’Alsace en abrite environ 800, mais sur deux départements !», fait valoir Christophe Boucher, animateur de la LPO. L’avantage charentais tient surtout à la bonne productivité de ses couples de cigognes qui font en moyenne deux bébés chacun. Comme leurs parents migrateurs, ces jeunes s’en vont passer l’hiver au chaud, au Maroc et plus au sud en Afrique de l’Ouest. Ils y restent jusqu’à pouvoir à leur tour procréer et de même que leurs parents (qui peuvent vivre 20 ans), ils reviennent de préférence dans la région où ils sont nés et même parfois sur le même nid. «On ne sait si la cigogne est fidèle en amour, mais elle est très fidèle à son nid», assure Nicolas Gendre, le monsieur «cigogne» de la LPO.
Des nids, il n’y en avait plus guère dans les années soixante-dix. Plus un seul en Charente-Maritime et seulement cinq ou six dans tout l’Hexagone, la cigogne alors en déclin est devenue espèce protégée. «En 1978, un couple est venu nicher dans un orme de Charente-Maritime, puis deux ou trois l’année suivante». L’orme étant victime de la graphiose, ce n’était pas l’arbre idéal pour supporter des nids pesant entre 100 à 200 kilos. «C’est pourquoi nous avons commencé à installer des plateformes. Les cigognes les ont adoptées», poursuit Nicolas Gendre.
En Charente-Maritime, le migrateur a trouvé un milieu particulièrement accueillant. «Il y a ici encore de nombreux marais préservés, les 11.000 ha de Brouage, le marais rochefortais mais aussi les bords de Boutonne, de Charente et leurs petits affluents», poursuit-il. Les conches des marais souffrent de la trop grande présence d’écrevisses de Louisiane, or les cigognes s’en font un régal. «Ça nous rend service. Ces écrevisses invasives n’ont pas d’autres prédateurs que les hérons, les spatules ou les cigognes». Ces dernières, trouvant le garde-manger bien garni, reviennent donc nicher dans les marais de Charente-Maritime dont elles apprécient aussi les pylônes électriques. La ligne à haute tension qui longe la départementale 123 entre Saint-Agnant et Marennes est rebaptisée route des cigognes. On y compte quasiment un nid par pylône et RTE (Réseau de transport d’électricité) a bien dû s’y résoudre, se contentant de mettre des girouettes sur les côtés pour obliger les oiseaux à nicher plutôt sur le dessus, loin des câbles. «Nous travaillons avec RTE, ainsi qu’avec ERDF devenu récemment Enedis, pour déplacer les nids vers des plateformes lorsque ceux-ci peuvent provoquer des mini-coupures d’électricité», indique l’ornithologue de la LPO.
En été cependant, ce n’est plus dans les nids qu’on peut observer ces migrateurs. Les petits ont pris leur envol, plus besoin de les surveiller ailleurs que dans les étendues de marais où ils se gavent de nourriture avant le grand voyage migratoire qui les attend, dès septembre.
Les mimosas ce sera pour bientôt
Enfin,
Chao et Lulu ont vu les porteurs de bébés.Ils sont bien énervés, serait ce dû à la prochaine lune bleue?
En réponse un site très intéressant
Charente-Maritime
La Charente-Maritime, premier nichoir à cigognes
Le migrateur cher à l’Alsace apprécie tout autant le littoral atlantique. Ces jours-ci, la cigogne abonde dans les marais de Brouage et de Rochefort.
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Pour les Anglais, la cigogne est un oiseau volage; être comparé à une stork par un British sous-entend ne pas être un modèle de fidélité conjugale. En Charente-Maritime en tout cas, nul ne se plaint de l’inconstance du grand échassier noir et blanc. Au contraire, les cigognes reviennent nicher chaque année plus nombreuses dans le département côtier. La communauté d’agglomération Rochefort-Océan a d’ailleurs fait de l’oiseau sa mascotte et organise chaque printemps un festival «Cigogne en fête» tournant d’une commune à l’autre.
N’en déplaise aux Alsaciens, c’est bien la Charente-Maritime qui compte désormais le plus de cigognes, d’après les statistiques tenues soigneusement par la Ligue de protection des oiseaux (LPO). «Nous dénombrons actuellement 500 couples, l’Alsace en abrite environ 800, mais sur deux départements !», fait valoir Christophe Boucher, animateur de la LPO. L’avantage charentais tient surtout à la bonne productivité de ses couples de cigognes qui font en moyenne deux bébés chacun. Comme leurs parents migrateurs, ces jeunes s’en vont passer l’hiver au chaud, au Maroc et plus au sud en Afrique de l’Ouest. Ils y restent jusqu’à pouvoir à leur tour procréer et de même que leurs parents (qui peuvent vivre 20 ans), ils reviennent de préférence dans la région où ils sont nés et même parfois sur le même nid. «On ne sait si la cigogne est fidèle en amour, mais elle est très fidèle à son nid», assure Nicolas Gendre, le monsieur «cigogne» de la LPO.
Des nids, il n’y en avait plus guère dans les années soixante-dix. Plus un seul en Charente-Maritime et seulement cinq ou six dans tout l’Hexagone, la cigogne alors en déclin est devenue espèce protégée. «En 1978, un couple est venu nicher dans un orme de Charente-Maritime, puis deux ou trois l’année suivante». L’orme étant victime de la graphiose, ce n’était pas l’arbre idéal pour supporter des nids pesant entre 100 à 200 kilos. «C’est pourquoi nous avons commencé à installer des plateformes. Les cigognes les ont adoptées», poursuit Nicolas Gendre.
En Charente-Maritime, le migrateur a trouvé un milieu particulièrement accueillant. «Il y a ici encore de nombreux marais préservés, les 11.000 ha de Brouage, le marais rochefortais mais aussi les bords de Boutonne, de Charente et leurs petits affluents», poursuit-il. Les conches des marais souffrent de la trop grande présence d’écrevisses de Louisiane, or les cigognes s’en font un régal. «Ça nous rend service. Ces écrevisses invasives n’ont pas d’autres prédateurs que les hérons, les spatules ou les cigognes». Ces dernières, trouvant le garde-manger bien garni, reviennent donc nicher dans les marais de Charente-Maritime dont elles apprécient aussi les pylônes électriques. La ligne à haute tension qui longe la départementale 123 entre Saint-Agnant et Marennes est rebaptisée route des cigognes. On y compte quasiment un nid par pylône et RTE (Réseau de transport d’électricité) a bien dû s’y résoudre, se contentant de mettre des girouettes sur les côtés pour obliger les oiseaux à nicher plutôt sur le dessus, loin des câbles. «Nous travaillons avec RTE, ainsi qu’avec ERDF devenu récemment Enedis, pour déplacer les nids vers des plateformes lorsque ceux-ci peuvent provoquer des mini-coupures d’électricité», indique l’ornithologue de la LPO.
En été cependant, ce n’est plus dans les nids qu’on peut observer ces migrateurs. Les petits ont pris leur envol, plus besoin de les surveiller ailleurs que dans les étendues de marais où ils se gavent de nourriture avant le grand voyage migratoire qui les attend, dès septembre.
Les mimosas ce sera pour bientôt
Chamboul tout. Marie-Claire.
mc17- sépale d'argent
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Les mimosas de Saint Trojan (île d'Oléron)
mc17 Mar 30 Jan 2018 - 10:30
FÊTE DU MIMOSA
ST TROJAN LES BAINS
Ouvert du 16/02/2018 au 18/02/2018
Au coeur de l'hiver, et depuis plus d'un siècle, les mimosas ensoleillent et embaument les rues du village le plus méridional de l'Ile d'oléron : Saint-Trojan-les-bains.
En 1959, nos anciens mirent sur pied la première fête du mimosa de Saint-Trojan-les-bains.
Depuis, chaque année, cette belle tradition populaire rassemble toutes les générations, tant parmi les bénévoles que dans la foule considérable venue admirer le défilé de personnes déguisées et les fameux chars décorés de mimosa.
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ST TROJAN LES BAINS
Ouvert du 16/02/2018 au 18/02/2018
Au coeur de l'hiver, et depuis plus d'un siècle, les mimosas ensoleillent et embaument les rues du village le plus méridional de l'Ile d'oléron : Saint-Trojan-les-bains.
En 1959, nos anciens mirent sur pied la première fête du mimosa de Saint-Trojan-les-bains.
Depuis, chaque année, cette belle tradition populaire rassemble toutes les générations, tant parmi les bénévoles que dans la foule considérable venue admirer le défilé de personnes déguisées et les fameux chars décorés de mimosa.
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Re: Les jardinautes, au fil des saisons.
tati jardin Mar 30 Jan 2018 - 11:55
et en jaune y'a aussi 
le soleil !
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tati jardin- Bourgeon prometteur
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Re: Les jardinautes, au fil des saisons.
lulu33 Mer 31 Jan 2018 - 17:26
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Re: Les jardinautes, au fil des saisons.
Chao Mer 31 Jan 2018 - 18:28
Mc et Lulu à st Trojan 
Je vois ça d'ici
Je vois ça d'ici
Chao- Clochette tintinnabulante
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Re: Les jardinautes, au fil des saisons.
lulu33 Mer 31 Jan 2018 - 18:39
avec mc, il y a des chances moi, je sais me tenir!
moi, je sais me tenir!
lulu33- Bourgeon prometteur
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BIBI17- inflorescence scorpioïde
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Re: Les jardinautes, au fil des saisons.
mc17 Jeu 1 Fév 2018 - 4:33
,La tête dans les mimosas
hummmmmmmmmmmmm, comme c'est bonnnnnnnnnnnn 
Riez, c'est bon pour le moral
♫♫♫On va dire que ces énervements seraient dûs à la pleine lune?
Caducs ou persistants?
Pour ma part, je préfère les persistants
Ce matin, elle n'est pas très nette, pas de lune rouge ou bleue mais, elle était bien là
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@Chao
jour J- (13)Dernière édition par mc17 le Jeu 1 Fév 2018 - 11:16, édité 1 fois
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Re: Les jardinautes, au fil des saisons.
BIBI17 Jeu 1 Fév 2018 - 9:30
mc : heuuuuuu! ce ne serait pas plutôt j-13 ??? 
La lune est dans l'eau - Et bien moi, je n'ai rien vu
la lune était cachée .
La lune est dans l'eau - Et bien moi, je n'ai rien vu
la lune était cachée .
BIBI17- inflorescence scorpioïde
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Re: Les jardinautes, au fil des saisons.
mc17 Jeu 1 Fév 2018 - 11:15
BIBI17 a écrit:mc : heuuuuuu! ce ne serait pas plutôt j-13 ???
Tu as raison, merci, je vais rectifier.Peu de personnes l'ont vue sèche tes larmesLa lune est dans l'eau - Et bien moi, je n'ai rien vu
*************
Quelques nouvelles de de la rivière sèche (bon enchaînement)
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Re: Les jardinautes, au fil des saisons.
BIBI17 Jeu 1 Fév 2018 - 22:21
Bah! quel sale temps chez toi mc 
Ici : beau temps toute la journée, j'ai même bien travaillé au jardin
BIBI17- inflorescence scorpioïde
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Re: Les jardinautes, au fil des saisons.
lulu33 Ven 2 Fév 2018 - 17:09
c'est étonnant toute cette grêle, on dirait de la neige!
lulu33- Bourgeon prometteur
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Re: Les jardinautes, au fil des saisons.
BIBI17 Ven 2 Fév 2018 - 22:57
Fichtre ! çà ne rigole pas chez toi !
Ouf! quel pot d'habiter de l'autre côté de la Charente , je sais au moins à quoi j'ai échappé
Blagues mises à part, comme tu dis c'est mémorable ! on dirait vraiment de la neige. As tu fait un bonhomme de grêle ?
Ouf! quel pot d'habiter de l'autre côté de la Charente , je sais au moins à quoi j'ai échappé
Blagues mises à part, comme tu dis c'est mémorable ! on dirait vraiment de la neige. As tu fait un bonhomme de grêle ?
BIBI17- inflorescence scorpioïde
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Re: Les jardinautes, au fil des saisons.
mc17 Sam 3 Fév 2018 - 4:24
CoucouOui, c'était joli, irréel
Un "bonhomme de grêle"
C'est la première fois que j'en vois autant!
- à 13 h il n'y avait plus rien
Donc, une excuse valable pour ne pas jardiner!
Chamboul tout. Marie-Claire.
mc17- sépale d'argent
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Re: Les jardinautes, au fil des saisons.
tati jardin Sam 3 Fév 2018 - 7:33
oui, repose toi donc MC et jouis de ton beau jardin, si beau que la grêle est passée pour le sublimer.
tati jardin- Bourgeon prometteur
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